• Sorti : Le 31/10/1991 au Japon, le 01/12/1991 aux USA et le 23/11/1992 en Europe (la dernière roue du • carrosse…)
• Développeur : KONAMI
• Editeur : KONAMI
• Plateformes : SUPER NINTENDO, Virtual Console sur Nintendo WII et WII U
• Testé sur : Super Nintendo
• Genre : Action-Plateforme
• Support Cartouche
• Jeu à un joueur uniquement
• Langue : Anglaise
Sorti sur nos latitudes avant la version NES du troisième opus de la série, SUPER CASTLEVANIA IV se dévoile au début de la nouvelle console 16 bits de Big N à savoir la Super Nintendo.
Pratiquement un an après sa sortie sur le Pays du Soleil Levant, ce jeu propose comme tous les jeux un florilège des capacités techniques propres à la Super Nintendo, le célèbre Mode 7 avec ses distorsions, zooms en tout genre.
Synopsis :
Le jeu prend place en 1691 en Transylvanie où le tueur de vampires Simon BELMONT doit évincer le Comte Dracula qui vient de ressusciter.
Voilà le scénario est en place, allons tuer monstres et animaux afin de restaurer la paix…
Ecran titre :
Après une courte introduction où l’on voit une chauve-souris sortir d’une tombe et un bref texte déroulant pour expliquer l’histoire, l’écran titre apparaît…
La musique est pesante et on entend les bruits de chauve-souris et des éclairs… Le ton est donné…
Le choix est rapide :
• GAME START : ça coule de source…
• CONTINUE : permet de reprendre un niveau à partir d’un système de code donné à la fin de chaque niveau.
• OPTION : Reconfiguration des touches, choix MONO ou STEREO et le Sound Test et basta.
Jeu et gameplay :
En appuyant sur votre cher bouton « START » de votre manette SNES, un cri de loup garou retentit, l’écran s’assombrit et vous voilà sur le prochain écran afin que vous puissiez vous donner un nom…
A quoi ça sert ??? A rien… Mais s’est joli…
Ensuite que dire, vous voilà plongez dans 10 stages (voir 11 si on compte Dracula comme un niveau) afin de vous rendre à la plus haute tour du Château de Dracula.
Vous devez passer toutes les étapes en commençant par les jardins du château, en passant par les grottes, les salles de torture, la fameuse tour de l’Horloge et autres.
Ces stages sont assez longs et entrecoupés de plusieurs petits niveaux et finissant comme d’habitude par un boss.
Pour le Gameplay :
Bouton B : Sauter.
Bouton Y : Frapper avec son fouet.
Bouton R : Utilisation de l’objet secondaire.
La particularité de ce titre et qui se détache de la majorité des opus de cette série et cette fameuse utilisation du fouet.
En effet, il vous est permis de frapper en diagonale ou en haut et de « jongler » avec votre fouet et restant appuyer sur le bouton Y (utile pour tuer les ennemis qui vous attaque par surprise car le fouet ainsi fait paralyse l’ennemi et continue de le toucher avant de le tuer définitivement).
Le fouet peut être amélioré deux fois. Au début, votre fouet est court et en cuir, ensuite, il est court mais en acier et pour finir il devient plus long.
Dans certains niveaux, vous pourrez vous prendre pour Indiana Jones et de vous accrocher à votre fouet pour passer les plateformes éloignées.
Ensuite, en restant enfoncé sur le bas de la croix multidirectionnelle vous pouvez rampez…
Concernant le Gameplay, rien de compliquer et rien de nouveau par rapport aux anciens épisodes…
Les cœurs (les petits et les gros) servent à vous servir de votre arme secondaire qui peuvent être au nombre de 5 :
• La croix : genre de boomerang.
• La hache : utile pour tuer les ennemis aériens.
• L’eau bénite : reste un petit moment sur place.
• Le couteau : rapide et tire tout droit.
• La montre : fige les ennemis un certain temps.
Bien sûr, ces armes secondaires usent plus en moins de cœur lors de leur utilisation notamment la montre.
Pas le temps (enfin quoique…) de pavaner devant les décors car le temps tourne et est limité pour finir le niveau.
CRITIQUE:
La technique :
Pour commencer et pour calmer de suite, techniquement, le jeu est magnifique. Tout est beau et bien animé. Vraiment rien à redire. Les différents scrolling de fond de tableau sont beaux et possèdent plusieurs niveaux de profondeur.
Peut-être une petite lourdeur du personnage (et encore…) et le fait qu’à la fin du saut de Simon, le personnage reste baissé et figé un très bref instant (moi ça ne gêne pas du tout).
Le mode 7 en met plein les yeux notamment au niveau 4 qui a été notamment vu lors des pubs de lancement de la console pour ses atouts notamment graphiques.
Quant aux musiques, elles sont divines. Je ne me lasse pas de les écouter.
La durée de vie :
Il faut compter un bon deux heures pour finir le jeu d’une traite. Le jeu demeure de manière assez facile et surtout que c’est l’un des plus faciles des opus de la série.
CONCLUSION:
Pour ma part, si il n’y a qu’un action plateforme 2D à jouer toutes machines confondues, c’est celui-là. C’est un must Have.
Il montre toutes les possibilités qu’offrait la Super Nintendo lors de sa sortie en Europe et n’a pas été déclassé malgré la quantité de jeux dans sa catégorie qui ont suivi que cela soit sur Super Nintendo ou d’autres machines…
MERCI KONAMI VOUS FAISIEZ DE BONS JEUX.