Grand Theft Auto : Liberty City Stories

  • Titre : Grand Theft Auto : Liberty City Stories
  • Sortie : 2005
  • Développeur : Rockstar Leeds & Rockstar North
  • Editeur : Rockstar Games
  • Plateformes : PSP, Playstation 2 & Playstation 3 (démat’)
  • Version testée : Playstation 2
  • Genre : GTA Like
  • Support : UMD & DVD
  • Sauvegarde : Oui
  • Jouable exclusivement en solo
  • Langue : Anglaise, sous titré Français

 

Sorti à l’origine en exclusivité sur la PSP de Sony, Liberty City Stories s’est vu porté sur la console de salon équivalente en terme de puissance. Que peut bien valoir cet épisode (spin off) de la série GTA arrivé sur une Playstation 2 en fin de vie ? 

 

 

Histoire :

Liberty City Stories nous raconte l’histoire de Toni CIPRIANI, personnage secondaire de GTA III. C’est en 1998 que débute notre aventure, soit trois ans avant Grand Theft Auto III. Toni n’est alors plus le ponte de la mafia qu’il a été, caché depuis plusieurs mois après un assassinat qui a mal tourné, il revient à Liberty City contraint de reprendre sa place dans cette famille qui l’a fait repartir en bas de l’échelle.

 

 

Gameplay :

Le gameplay reprend à l’identique celui des GTA 3 (GTA III, Vice City et San Andreas) et une chose est sûre il serait temps de changer ce système de lock de la visée qui comment à dater, heureusement GTA IV sorti plus tard abandonnera ce dernier. Le « lock » cible la personne la plus proche automatiquement lorsque la touche R1 est pressée, ce système rend les gun fight problématiques surtout si des passants se mêlent à la partie… Pour le reste pas vraiment de problème la croix servira pour courir, carré pour sauter, triangle pour entrer/sortir d’un véhicule et rond pour utiliser l’arme sélectionnée (sélection qui se fera grâce à L2 et R2).

 

 

Technique et game design :

Liberty City Stories est un portage PSP et cela se voit. Si les motos ont fait leur apparition depuis GTA III on trouve cependant moins de diversité du coté des voitures et on déplore une baisse graphique également. Malgré tout il faut raison garder car le travail est plus que correct pour la PSP, on aurait aimé un peu plus de boulot pour la version PS2 ces messieurs de chez Rockstar ! Coté game design San Andreas est passé par là et c’est son ATH qui sera utilisé.

 

 

Difficulté et durée de vie :

La principale difficulté du titre résidera dans les gros gun fight qui poseront problème à cause du système de lock évoqué plus tôt. Pour le reste rien de bien méchant. L’aventure en ligne droite vous demandera 15/20 heures mais comme à chaque fois de nombreuses missions secondaires vous seront proposées (missions police/ambulance/taxi ou les missions disponibles sur les cabines téléphoniques publiques).

 

 

Les différences PSP/PS2 :

Si l’on pouvait s’attendre à des ajouts sur la version console de salon c’est bien l’inverse qui s’est produit. La version PS2 se voit amputée du mode multijoueurs local et en ligne. Un portage décidément bien fainéant…

 

 

Conclusion :

Si la sortie d’un GTA n’est jamais une mauvaise nouvelle, cet épisode ne mérite cependant pas l’achat de la console pour lui.

 

 

 

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