Gears 5

  • Titre: Gears 5
  • Sortie : 2019
  • Editeur : Xbox Game Studios
  • Développeur : The Coalition
  • Plateforme : Xbox One et PC
  • Testé sur : Xbox One
  • Genre : Tir à la 3eme personne
  • PEGI : 18+
  • Sauvegarde : Automatique
  • Jusqu’à 3 joueurs en local et 10 en ligne
  • Langue : Français

 

La série des Gears Of War est de retour avec ce cinquième épisode (série principale) sobrement dénommé Gears 5 (faut dire c’est de notre faute on prononçait jamais le « Of War »). Que vaut cet opus en tant que tel mais aussi au sein de la série ? 

 

 

Histoire :

Gears 5 oriente son histoire sur le personnage de Kait DIAZ, soldat de la CGU, qui nous avait laissé dans le suspense à la fin de Gears Of War 4. Une explication s’impose sur son histoire et l’éventuel lien avec les locustes (ennemis principaux de la première trilogie). La guerre contre la vermine s’intensifie et nos Gears tentent coûte que coûte de remettre en service les satellites utiles à l’utilisation du rayon de l’aube, quitte à faire équipe avec l’URI (principaux ennemis de la CGU avant le jour de l’émergence des locustes dans Gears Of War). 

 

 

Gameplay :

Gears Of War a mis tout le monde d’accord en 2006 coté gameplay et les changement sont mineurs à chaque nouvel opus. Ici la seule nouveauté sera la possibilité d’utiliser Jack (notre petit robot volant) afin d’obtenir quelques bonus en cour de partie (bouclier, contrôle d’ennemis, invisibilité…). Ce qui pourrait s’apparenter à un défaut est en fait la force de Gears Of War, on ne change pas une équipe qui gagne. Gears 5 ne déroge pas à la règle avec son gameplay irréprochable (vous pouvez ranger vos manettes élites, inutiles ici). Deuxième point de divergence avec le reste de la série est la présence de zones ouvertes (deux au total) dans lesquelles il vous sera possible de vous déplacer en véhicule et d’effectuer des missions secondaires (vous apportant principalement des améliorations pour Jack). C’est la fausse bonne idée du titre, le rythme de la série en prend un coup pendant ces phases, heureusement Gears 5 compense avec une narration plus présente.

 

 

Technique et graphisme :

Le titre est graphiquement très costaud, en dehors des zones ouvertes qui sont pour le coup moins convaincantes (principalement la zone désertique). Le monde ouvert n’est pas toujours une bonne chose. Pour le reste c’est du sans faute, c’est fluide et aucun soucis technique n’est venu perturber mon expérience. C’est même le premier « Gears » à proposer du 60 FPS (bien que cela n’était pas forcement nécessaire, on crache pas dessus).

 

 

Multijoueurs :

Gears Of War a toujours su proposer un multijoueurs très complet, ici comme d’habitude on peut jouer l’histoire en écran partagé mais également le multijoueurs en ligne. Le solo sera jouable jusqu’à trois (mais le troisième jouera Jack…). Quant aux modes en ligne nous retrouverons les classiques modes compétitifs, le désormais incontournable mode Horde (un mode coopératif à 5 joueurs vous demandant de résister à plusieurs vagues d’ennemis) mais également le petit nouveau qu’est le mode Fuite. Dans ce dernier trois joueurs coopéreront afin de fuir une ruche ennemis.

 

 

Difficulté et durée de vie :

Même si le mode solo se termine assez vite (10-15 heures) il proposera quelques combats de boss épiques et exigeants. La durée de vie est donc assez faible mais n’oubliez pas d’ajouter à ça la re-jouabilité (notamment en coop avec un ami) et les excellents modes multijoueurs (qui peuvent à eux seul décupler tout ça).

 

 

Conclusion :

Gears 5 reste un excellent jeu même s’il n’est plus aussi culte que la première trilogie. Une valeur sûr pour les habitués et une bonne occasion de s’y mettre pour les novices.

 

 

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