Control

  • Titre : Control
  • Sortie : 2019
  • Développeur : Remedy Entertainment
  • Editeur : 505 Games
  • Plateforme : Playstation 4, Xbox One et PC
  • Testé sur : Xbox One
  • Genre : TPS (shooter à la troisième personne)
  • PEGI : 16+
  • Sauvegarde : Automatique
  • Jouable à un joueur uniquement
  • Langue : Français

 

Remedy est bien connu des joueurs pour avoir développé les deux premiers Max Payne, Alan Wake ou encore Quantum Break. Tout les éléments semblent rassemblés pour un jeu exceptionnel, qu’en est il réellement ?

 

 

Histoire et ambiance :

A la recherche de son frère depuis une disparition pour le moins mystérieuse pendant leur enfance. Jesse se retrouve au Bureau, bâtiment abritant l’agence secrète FBC (Bureau Fédéral du Contrôle), une agence fédérale chargée de travailler sur les phénomènes surnaturels. Le Bureau est d’ailleurs implanté à New York tout en étant complètement invisible des habitants. A son arrivée le lieu est étrangement vide et Jesse se retrouve malgré elle directrice du FBC suite au suicide de l’ancien directeur. La situation est décidément bien étrange, l’endroit est envahi par le Hiss (force surnaturelle), il va falloir se battre pour progresser. Et si tout ça était une manipulation pour faire venir Jesse ? 

L’histoire de Control reste le point d’intérêt principal et l’ambiance « Phénomènes surnaturels » enrobe merveilleusement tout ça. Le jeu jouit d’une ambiance inquiétante sans cependant basculer dans l’horreur. 

 

 

Gameplay :

Jesse récupère en même temps que sa fonction de directrice un pistolet qui possède la capacité de se recharger à l’infini, il faudra cependant recharger régulièrement faut pas déconner ! Pendant son exploration du Bureau notre protagoniste acquerra diverses capacités comme notamment la possibilité de contrôler des objets via télékinésie ou encore voler temporairement. Vos principales armes contre le Hiss seront donc votre pistolet (qui pourra moyennant XP se transformer fusil à pompe, sulfateuse…) et la charge télékinétique, la où le bas blesse c’est que vos deux armes possèdent une tempo pour être réutilisées et cela pose un problème de rythme pendant les combats. On se retrouve bien trop souvent sans ressources, les combats les plus difficiles seront pas conséquent pénibles.

 

 

Technique :

Le studio nous avait déjà habitué à l’excellence avec Quantum Break, cette fois ci on est toujours sur un jeu extrêmement beau. Seul certains éléments secondaires, comme des affiches ou certains écrans mettent beaucoup de temps à s’afficher. Le titre se permet même de jouer constamment avec les décors, bâtiments et perspective afin de renforcer l’ambiance « paranormale » de Control.

 

 

Difficulté et durée de vie :

Control se situe dans la moyenne des durées de vie avec une quinzaine d’heures au programme. C’est plus que suffisant pour dérouler l’intrigue, sans trop faire de longueur. Surtout que certains combats (nous l’avons vu plus tôt) ne sont pas forcement agréable.

 

 

Conclusion :

S’il est passé plus ou moins aperçu dans le monde impitoyable des AAA, Control n’en reste pas moins une petite pépite. Dommage que le gameplay ne soit pas aussi soigné que le reste. 

 

 

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