Beyond : Good & Evil

  • Titre: Beyond : Good & Evil
  • Sortie : 2003
  • Editeur : Ubisoft
  • Développeur : Ubisoft Montpellier, Ubisoft Milan (pc et Xbox), Ubisoft Shangai (HD)
  • Plateforme : Playstation 2, Xbox, Gamecube, PC et en HD sur Xbox 360 et Playstaion 3
  • Testé sur : Playstation 2
  • Genre : Action/Aventure
  • PEGI : 7+
  • Sauvegarde : Oui (479Ko)
  • 1 joueur uniquement
  • Langue : Textes et voix en Français

 

Conçu par le papa de Rayman et Tonic Trouble (Michel ANCEL) ce Beyond : Good & Evil n’a pas connu le succès commercial à sa sortie. Découvrons ensemble si ce cruel destin est bien justifié ?

 

 

Histoire :

Jade (jeune reporter) est responsable d’un orphelinat aidée de son « oncle » Pey’j (un Homme Cochon). La société qui les fait vivre (Jade Reportage & Co) a les caisses bien vides… Lors d’une attaque de DomZ, le bouclier protégeant l’orphelinat se coupe (faute de crédit), le temps presse et Jade devra rapidement trouver des fonds pour mettre à l’abri ses petits protégés. Contactée par le mystérieux Monsieur CASTELLAC, Jade se retrouve embrigadée dans la résistance sans oublier cependant son premier travail pour le centre scientifique d’Hillys, prendre en photo toutes les espèces vivantes de la planète (bah ouais faut bien payer les factures !).

 

 

Gameplay :

Beyond : Good & Evil propose trois gameplay différents, l’exploration, le combat et le pilotage. Le joueur n’a rien a faire, le jeu basculera automatiquement en fonction des situations. BGE propose un gameplay plutôt classique avec la possibilité de s’accroupir, courir, frapper, esquiver mais aussi de faire appel à votre binôme pour actionner un interrupteur ou participer à un combo. Jade aura également la possibilité d’utiliser un objet au préalablement sélectionné avec la croix multidimensionnelle (soin, pass, réparation…). La particularité première du jeu est la possibilité de prendre des photos (souvenez-vous Jade est reporter) afin de répertorier toutes les espèces animales de la zone, en échange de quelques perles (monnaie du jeu utilisable pour up grader votre hovercraft/vaisseau). Le gameplay est fluide mais ne propose aucune subtilité ni difficulté.

 

 

Technique et graphisme :

Le titre propose des graphismes plus que corrects pour l’époque, on ne regrettera que quelques ralentissements sur la version testée (Playstation 2), mais rien de vraiment dérangeant ou récurrent. BGE forcera automatiquement l’affichage en 16:9 et ce peu importe les réglages de la console. Ce qui reste un choix de mise en scène valable mais pénalisant pour les petits écrans. 

 

 

Difficulté et durée de vie :

Le jeu est assez facile et il vous faudra en moyenne 10 heures pour parvenir à la fin du jeu. Si ce chiffre peut paraître faible, il aura l’avantage de pouvoir proposer une narration de qualité et un rythme maîtrisé. Le scénario reste un des points les plus importants du titre de par sa qualité d’écriture et son rythme, un point pas forcement évident à cette époque (sixième génération de consoles).

 

 

Conclusion :

Beyond : Good & Evil aura été injustement boudé par les joueurs à l’époque de sa sortie pourtant il propose une histoire originale et un gameplay qui aujourd’hui a très bien vieilli.

 

 

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